SANTEBIO - AFRIQUEBIO -Tisanes Bio

Cliquez sur AFRIKBIO 

Micro-sein: cause N° 2

Cause secondaire : Récepteurs hormonaux

Remarque

Il importe de comprendre tous les facteurs qui interviennent dans le cycle menstruel de la femme et surtout de celui de l’accroissement des seins et la réussite de tout programme d’agrandissement des seins, poitrine fesses et autres est à ce prix sinon c’est l’échec assuré ou de maigre résultat positifs. Lisez, cherchez pour comprendre afin de ne pas être dupé et Dieu sait que les arnaqueurs sont nombreux. Afin de ne pas prendre de forte dose d’hormones, sans aucun résultat et pire encore préparer le terrain à un cancer  car trop d’œstrogènes naturelles ou synthétiques peut  faciliter la prolifération des cellules indésirables.

Définition

Un récepteur hormonal est une structure située à la surface de la cellule, dont la représentation spatiale est telle que seule l’hormone  pourra, telle une pièce de puzzle, venir s’y fixer.

Mécanisme d’action

Le récepteur hormonal, fixe l’hormone  pour facilite la transmission d’un message  spécifique ( croissance, sécrétion, etc). Il se forme alors un complexe hormone-récepteur qui  pénètre à l’intérieur de la cellule et gagne le noyau pour son message. C’est donc  au niveau du noyau l’hormone délivre son message qui provoquera une réaction spécifique, qui peut-être la stimulation de la croissance de la cellule ou une sécrétion de la part de celle-ci. Une même cellule peut comporter plusieurs récepteurs destinés à des hormones différentes. Par exemple, au niveau des glandes mammaires nous avons des récepteurs alphas sensibles aux estrogènes et des récepteurs bêtas sensibles à la progestérone. Ainsi selon l’hormone sécrétée ou administrée les effets constatés sur le même organe seront différents.

 Le tout ne suffit donc pas d’avoir une bonne dose d’hormones sexuelles et il faut aussi des récepteurs en quantité et en qualité et tout programme d’agrandissement doit en tenir pour maximiser les chances de réussite d’accroissement des seins, poitrine, fesses et autres. Il existe plusieurs types de récepteurs hormonaux présents dans la poitrine et ailleurs.  Les récepteurs alpha, les bêtas 1, 2, 3, 4, 5, etc... Et sûrement d'autres que l'on n'a pas encore su identifier.

 Applications pratiques de la notion des récepteurs hormonaux

 Beaucoup d’études ont été réalisées et publiées sur le comportement des récepteurs faces aux hormones de synthèse et naturelle ; il est avéré que les hormones de synthèse et les hormones naturelles sont capables non seulement d’activer les récepteurs mais aussi de se fixer sur beaucoup de récepteurs hormonaux. L’utilisation des hormones, des pilules et autres en est une application. De plus les hormones végétales ont moins d’effets secondaires que les hormones synthétiques. Mais tout à sa place car l’action des hormones synthétiques est souvent immédiate alors que les hormones naturelles produisent une action lente et sûr. A chacun de choisir en toute  connaissance de cause son programme d’agrandissement de poitrine : chirurgie à effet immédiat ou les plantes à effet lent et sûr.

Problème de récepteur

Un récepteur hormonal est une structure situé à la surface de la cellule, dont la conformation spatiale est telle que l’hormone spécifique pourra, telle une pièce de puzzle, venir s’y fixer pour gagner le noyau de la cellule afin de délivrer son message qui peut-être une stimulation de croissance ou une sécrétion. Le tout ne suffit donc pas d’avoir une bonne dose d’hormones sexuelles et faut aussi des récepteurs en quantité et en qualité et tout programme d’agrandissement doit en tenir pour maximiser les chances de réussite d’accroissement des seins, poitrine, fesses et autres. Il existe plusieurs types de récepteurs hormonaux présents dans la poitrine et ailleurs.  Les récepteurs alpha, les bêtas 1, 2, 3, 4, 5, etc... Et sûrement d'autres que l'on n'a pas encore su identifier.

 La croissance des seins a lieu grâce à l’estradiot contenu dans les œstrogènes que la femme produit en début d’adolescence.  Sous l’action des gonadostimulines secrétées par l’hypophyse, les ovaires secrètent des œstrogènes qui sont transportées par le sang mais les cellules du sein ont besoin de récepteurs à œstrogènes en qualité et en quantité pour   capter la présence de cet estradiot et initier leur croissance. Malheureusement, chez certaines femmes, le nombre de récepteurs est insuffisant ou les récepteurs sont de mauvaises qualités.  En effet, il existe plusieurs types de récepteurs à estrogènes. Certains, comme le ERbeta2, sont insensibles à l’estradiot mais sensibles à d’autres estrogènes. C’est grâce à ces récepteurs que la croissance de la poitrine prend fin après la puberté car ils viennent peu à peu remplacer les récepteurs sensibles à l’œstradiol dans la poitrine. Cette dernière devient alors progressivement insensible à l’œstradiol. La plupart des phytoestrogènes  contenus dans les plantes se lient particulièrement bien aux 42 récepteurs de ce type et peuvent donc permettre au sein de grossir comme sous l’effet de l’œstradiol  de la jeune fille durant la puberté. Les femmes qui n’ont pas vu leur poitrine augmenter durant la puberté ne manquent donc pas forcément de récepteurs à estrogènes mais n’avaient pas les bons récepteurs au moment de leur puberté. Certains phytoestrogènes sont capables d’activer les récepteurs insensibles à l’œstradiol.

 Différents types de récepteurs à estrogènes

 Il existe plusieurs types  de récepteurs à estrogènes présents dans la poitrine de chaque femme : les récepteurs alpha, les bêtas 1, 2, 3, 4, 5, etc... Et sûrement d'autres que les biochimistes n’ont pas encore identifié. De nombreuses cellules dans la poitrine expriment ces récepteurs : les cellules des glandes mammaires mais aussi celles du tissu conjonctif environnant jouent aussi un rôle dans la croissance des glandes mammaires puisqu’elles sont capables de libérer des hormones de croissance en réponse à certains estrogènes. Souvent, les cellules contiennent plusieurs de ces récepteurs qui interagissent et forment des récepteurs identiques  différents, nécessaires à l’induction de la transcription de certains gènes. La quantité et la qualité des récepteurs  sont essentielles pour un développement harmonieux des seins.

  Les bons récepteurs au bon moment

La poitrine d'une jeune fille contient normalement beaucoup de récepteurs à estrogènes de bonne qualité, ce qui lui permettra le développement des  seins durant la puberté. Avec le temps, l'exposition à la progestérone, notamment, modifie le cocktail de récepteurs à hormones dans la poitrine qui devient alors défavorable à la croissance mammaire. Chez certaines filles, les récepteurs sont en quantité insuffisante ou en quantité suffisante mais de mauvaise qualité et cela pose un véritable problème dans la transmission du message d’accoisement des seins malgré le dosage normal d’œstrogènes. Par exemple, durant la puberté des cellules du tissu conjonctif environnant les glandes mammaires  expriment normalement beaucoup de récepteurs alphas que l’œstradiol vient activer. Cependant, ce n’est pas le cas pour toute les filles, puisque certaines adolescentes ont beau avoir un cycle menstruel régulier avec une production d’œstradiol normale, leur poitrine ne pousse pas à cause d’une défaillance au niveau des récepteurs. En effet, les cellules du tissu conjonctif entourant leurs glandes mammaires n’expriment pas ou trop peu de récepteurs à estrogènes alphas ou encore au lieu des récepteurs alphas elles expriment des récepteurs bêtas  et cela  rend la croissance par les estrogènes difficile voire absolument impossible. . Grâce aux plantes ayant un effet hormonal, on peut offrir à ces femmes une seconde chance en aidant le corps à recréer le bon cocktail de récepteurs à estrogènes favorables à la croissance mammaire. Tout programme correct d’agrandissement des seins, poitrine et autres doit tenir compte de ce phénomène dans la sélection des plantes à phytoestrogènes. Le secret du succès est donc de savoir prendre la bonne plante au bon moment pour augmenter d'abord la sensibilité de la poitrine aux estrogènes puis stimuler la croissance elle-même. De toute façon, il faut retrouver le cocktail de récepteurs favorables à la croissance mammaire  de la femme  dont les seins restent peu développés à 25 ans ou après la maternité afin d’agir efficacement. Avec les plantes, l’espoir est bien permis. Le problème des récepteur est un aspect très important et tout programme d’agrandissement des seins est voué à l’échec si ce problème n’est pas résolu et il ne suffit pas de prendre des hormones pour espérer agrandir poitrine sein  fesses et autres. N’oubliez pas que l’abus en hormones peut engendrer tout sorte de cancers.

Ajouter un commentaire